Les bébés avortés ont vidé autour de la ville

l'Afrique du Sud. 11 avril 2003

Par Elisha Ramnundall

La police doit étudier des allégations que les cliniques d'avortement encouragent des femmes à vider les corps de leurs bébés avortés dans des casiers d'ordures dans et autour de la ville.

Pendant des mois maintenant, des douzaines de foetus ont été trouvées dans les espaces ouverts, les casiers de déchets et la dernière trouvaille effroyable étaient dans une toilette au coin de la rue de Gardiner et de la rue occidentale à Durban central hier après-midi.

L'appui Vasie Naidu de porte-parole de police dit de tels cas étaient en augmentation.

des "investigations seront commencées pour établir exactement pourquoi il y a une augmentation et, si n'importe quelle clinique viole la loi, elles si croissantes sera poursuivi," a dit Naidu.

Les ouvriers sociaux et de la communauté se sont plaints que les femmes vont aux cliniques pour avoir des avortements et une fois le procédé est rempli, les femmes sont laissés aller à la maison et sont donnés un sachet en plastique.

On le dit est allégué eux que quand ils sont sur le point d'avorter leur bébé, ils devraient faire ainsi dans le sac et les jeter dans des casiers d'ordures dans les rues.

La trouvaille d'hier d'un foetus 32-week-old est devenue encore une autre statistique.

Dr Timothy de Klerk a prononcé le bébé mort à 4.45pm.
Soyez témoin de l'auriculaire Zwane, qui a trouvé le bébé, a dit qu'elle a écrit la toilette et a vu un paquet jaune. "quand je l'ai ouvert, j'ai trouvé le bébé et ai immédiatement alerté la police," elle a dit.

Sgt Vinod Ramdeo à partir de l'unité d'empêchement de crime d'atelier, qui était la première à arriver sur la scène, a examiné le paquet.

"j'ai ouvert le paquet et enveloppée en papier était une figure rose minuscule avec un principal et de petits pieds," il a dit.

La police Sgt Thembeka Luthuli a dit qu'elles se rendaient compte d'une augmentation des foetus abandonnés.

les "mères qui ne veulent pas leurs bébés devraient contacter les ouvriers sociaux qui peuvent leur donner des solutions," elle ont dit.